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Savage 69 Garden
26 janvier 2008

Chapitre 2) Le Poudlard Express

Chapitre 2) Le Poudlard Express

Albus marchait à grands pas, tentant de suivre la chevelure rousse de sa mère des yeux, cramponné à son porte bagage qui croulait sous ses fournitures scolaires. Il était le dernier du groupe, tentant désespérément de dépasser au moins sa sœur, qui était accrochée à la main de son père, se plaignant qu'elle aussi voulait aller à Poudlard. Vraiment, il lui aurait donné sa place sans discuter s’il avait pu. Il sentait déjà le nœud douloureux de l’angoisse lui serrer les entrailles, et il n’était même pas encore monté dans le train ! Et il faut dire que personne ne faisait grand-chose pour le soulager, surtout pas son frère qui s’évertuait à lui conter les milles et uns dangers mortels qui l’attendaient dans l’enceinte de la célèbre école…
« Au fait, Al, est ce que je t’ai parlé du saule cogneur ? Une vraie teigne celui là. Vraiment, il a failli fracasser le crane de Finnigan au moins 5 fois l’année dernière, et encore, il n’était pas en forme… »

Albus lança un regard suppliant à son père qui lui fit un sourire rassurant.

« James, laisse ton frère tranquille. Tu sais bien que la rentrée l’angoisse, tu devrais lui montrer du soutien… »

« Mais je lui montre du soutien ! Je lui évite différentes morts extrêmement douloureuses grâce à mes conseils… »

Albus glapit misérablement et son père donna une petite tape sur le crane de James qui se contenta de rire. Ils arrivèrent enfin devant le passage de la fameuse voie 9 ¾ entourés de moldus qui regardaient les vêtements de sa mère et Lily avec un air étrange (son père, James et lui portaient toujours des vêtements moldus, plus agréables que les lourdes robes sorcières…Et de quoi auraient-ils eut  l’air en robe en plein Londres après tout ?).

« Très bien, passe en premier, James ! »

L’ainé prit son élan, fit un clin d’œil désagréable à Al et fonça droit dans le mur de pierres, passant à travers comme si de rien n’était. Albus roula des yeux à l’air supérieur de son frère, et profitant de son absence momentanée, se tourna vers ses parents.

« Vous m’écrirez, hein ? »

« Tous les jours, si tu veux. »

Il secoua la tête devant l’inconscience de sa mère.

« Pas tous les jours ! James dit que la plupart des élèves ne reçoivent des lettres de chez eux qu’une fois par mois… »

Son père roula des yeux à son tour et lui adressa un doux sourire.

« Et il ne faut pas croire tout ce qu’il te raconte sur Poudlard…Il aime bien se moquer de toi, ton frère. »

Albus fit la moue, et poussé par son père, il se tourna vers le mur qui semblait l’attendre patiemment. Il prit une grande inspiration, rassemblant son courage. Fonçant à son tour, son père à ses côtés, les yeux fermés et les sourcils froncés, il se sentit passer comme dans un grand couloir froid, et rouvrit les yeux lorsqu’il sentit la chaleur revenir l’envelopper ; il se trouvait à présent dans la gare sorcière, entouré de ses semblables. Sans savoir trop pourquoi, il se sentit non pas soulagé par cette appartenance, mais encore plus oppressé. Il s’avança prudemment vers son frère qui lui faisait signe, et se retourna en entendant sa mère et sa sœur arriver derrière lui, Lily riant de la sensation étrange. Lorsqu’il se retourna, son frère avait déjà disparu dans la foule bruyante.

Il chercha frénétiquement les silhouettes qu’ils devaient rejoindre des yeux, anxieux à l’idée de devoir prendre le train seul.

« Ou sont-ils ? »

« On va les trouver, répondit sa mère d’un air confiant. »

Ils se dirigèrent tous les quatre vers le Poudlard Express, écarlate et imposant, crachant sa fumée grise et brulante, semblant comme impatient d’accomplir son rôle et d’amener les jeunes élèves à destination. Albus eu un sourire à cette pensée, et se demanda si le train était doué de sentiments, bourré de magie comme il l’était. Après tout, c’était fort possible. Il fut tiré de ses pensées abracadabrantes en entendant sa mère s’exclamer.

« Je crois que c’est eux, Al !»

Souriant de toutes ses dents, il aperçut alors son oncle Ronald, leur faisant de grands signes exubérants, tandis que sa tante Hermione roulait des yeux, un sourire en coin logé sur ses lèvres. A leurs cotés se trouvaient Rose et Hugo, se disputant sur un sujet quelconque, comme à leur habitude. Il les rejoint, fou de joie : Rose commençait sa première année elle aussi ; il ne serait pas seul. Du moins, il ne le sera pas si…Non, ne pas penser à ça. C’était simplement une invention de James pour lui faire peur…Simplement une invention.

« Salut, dit-il, soulagé »

« Al, c’est génial de te voir ! C’est super, non ? Poudlard ! Enfin ! »

rosie

Rosie arborait un énorme sourire, dévoilant sa paire de dents proéminentes (soi-disant  venant de sa mère, mais Albus n’avait jamais vu qu’une dentition parfaite dans la bouche de sa tante). Elle portait déjà sa robe d’école. Ses cheveux roux et bouclés, un peu plus foncés que ceux de son père, et ses pupilles d’un brun clair et profond cachaient un cerveau qu’Al supposait très certainement surdimensionné ; Rose savait toujours tout sur tout, et ne cachait cela à personne, surtout pas à James qu’elle aimait rabaisser lorsqu’il s’en prenait à Albus. Il aimait beaucoup sa cousine, qui prenait souvent sa défense ; il n’avait jamais été très imposant, et d’un caractère plutôt timide, même si parfois, ses colères pouvaient se révéler pires que celles des Magyars à Pointes lorsqu’ils tentent de protéger leurs œufs (c’était son père qui lui avait dit, et même si il n’avait jamais trop compris pourquoi il faisait allusion à ce dragon en particulier, il avait confiance en lui et son regard mélancolique).

« J’étais tellement impatiente pour aujourd’hui que je n’en ai pas dormi de la nuit ! Alors, j’ai relu le manuel sur l’Histoire de Poudlard- tu savais comment fonctionne le plafond enchanté de la Grande Salle ? »

Albus secoua légèrement la tête, la bouche ouverte béatement et les yeux écarquillés.

« Enfin, ce n’est pas le plus important, on t’apprendra ça pendant l’histoire de la magie (elle eut un petit air supérieur qu’Albus reconnu comme venant de sa mère). Moi, je suis impatiente de savoir dans quelle maison je serais, ça, ça ne s’apprend pas dans les livres ! (et là, le regard pétillant de son père).»

A ce moment là, Oncle Ron sortit du train, ayant aidé le père d’Al à déposer ses bagages. Il lança d’un air joyeux ;

« Si tu n’es pas à Gryffondor, on te déshérite. Mais je ne veux pas te mettre la pression… »

« Ron ! »

Ces paroles firent l’effet d’une douche froide à Albus, qui sentit ses angoisses revenir au grand galop. Il entendait Lily et Hugo rire derrière eux, mais Rosie avait le visage grave, et les paroles réconfortantes de leurs mères ne leur firent pas grand effet.

Mais avant qu’il puisse en entendre plus, son oncle couvrit les voix de tout le monde, utilisant un ton étrange.

« Regarde qui est là. »

Suivant le regard de tous les adultes présents (tandis que Rose déversait ses connaissances accumulées la nuit précédente sur son petit frère qui lui, tentait de se boucher les oreilles d’un air agacé), il vit se détacher derrière un écran de fumée deux silhouettes, une petite et une grande élancée. Plissant légèrement les yeux, il aperçut alors un grand homme aux cheveux d’un blond presque blanc, l     a peau pâle, le menton pointu et les yeux brillants et sombres. Sa longue cape noire tombait sur ses chaussures, lui donnant un air élégant et indéniablement aristocratique. Lorsqu’il leva les yeux sur leur groupe, Albus fut pris d’une angoisse soudaine, comme s’il venait d’être pris en flagrant délit d’un acte criminel. L’homme les toisa longuement et leur adressa un bref signe de tête, qu’Al compris comme étant adressé à son père. Celui-ci lui répondit, un léger sourire en plus. L’aristocrate se détourna d’eux et sembla dire quelque chose à l’enfant qui l’accompagnait, tandis que les adultes recommencèrent à parler, de l’inconnu cette fois. Albus, lui, n’avait pas décroché son regard des deux personnes et suivait la discussion d’une oreille. La main ganté de l’homme était posée sur l’épaule de l’enfant, et il comprit qu’il s’agissait de son fils ; les mêmes cheveux blonds clairs, la même peau pâle et le regard métallique ; ils avaient indéniablement le même sang.

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Une fille les rejoints, cachée par la fumée et trop loin pour qu’Al puisse discerner autre chose qu’une longue chevelure blonde. C’est alors que l’enfant tourna son regard vers lui. Albus cru d’abord qu’il le toisait d’un regard haineux, mais il plissait simplement les yeux pour l’apercevoir, tout comme il le faisait en ce moment. Mais au moment ou le blond sembla discerner son visage, son père lui reposa la main sur l’épaule, l’emmenant plus loin. Albus eu une sensation étrange, partagée entre le soulagement et la curiosité.

scorpius

« …te pardonnerait jamais si tu épousais un sang-pur.»

Il tourna la tête vers les adultes qui avaient continué la discussion, et au moment ou Hermione allait répliquer quelque chose à la blague de son mari, James réapparut devant eux, semblant extrêmement surpris, et essoufflé, comme si on l’avait pris en chasse.

« Teddy est là bas (il pointa un nuage de fumée du doigt), je viens de le voir ! Et vous savez ce qu’il faisait ? Il embrassait Victoire ! »

Albus écarquilla les yeux et regarda les autres. Rosie et Lily échangeaient un regard avec un grand sourire suspect, et Hugo avait un air perplexe, comme s’il ne comprenait pas trop ce qu’il se passait (lui aussi embrassait Victoire, et sa mère, et presque tout le monde dans la famille, non ?). Regardant les adultes qui ne réagissaient pas vraiment, il pensa que James en faisait surement trop pour pas grand-chose-comme à son habitude.

« Notre Teddy ! Teddy Lupin ! En train d’embrasser notre Victoire ! Notre cousine ! Alors, j’ai demandé à Teddy ce qu’il faisait… »

Ginny soupira.

« Tu les a dérangés ? Tu es comme Ron… »

« …Et il m’a répondu qu’il était venu lui dire au revoir ! Et ensuite, il m’a dit de m’en aller. Il l’embrasse !  Ajouta t-il, semblant certain que les adultes étaient trop bêtes pour comprendre ce que cela voulait dire. »

« Oh, ce serait merveilleux s’ils se mariaient ! murmura Lily, semblant rêvasser debout (à ce moment là, elle lui fit penser à sa marraine Luna). Teddy ferait vraiment partie de la famille… »

Son père pris enfin la parole, de sa voix douce.

« Il vient déjà diner à la maison à peu près quatre fois par semaine. Pourquoi ne pas lui proposer d’habiter chez nous, comme ça, ce serait fait ? »

James bondit avec enthousiasme, tandis qu’un sourire naissait sur les lèvres d’Albus et Lily.

« Ouais ! s’écria-t-il. Je veux bien partager ma chambre avec Al…Teddy pourrait avoir la mienne ! »

Leur père eut alors une sorte de grimace et leva les yeux au ciel, comme s’il songeait à ce qui arriverait s’il suivait l’idée de James. Albus grimaça aussi en se rappelant des merveilles d’ingéniosité de son frère quand il s’agissait de l’embêter, et plus particulièrement de la bombabouse de la semaine dernière…

« Non, répliqua fermement son père. Al et toi, vous ne partagerez la même chambre que quand j’aurais décidé de démolir la maison. »

Albus, Lily et leur mère acquiescèrent d’un air grave. Son père consulta alors sa vieille montre bosselée.

« Il est presque 11 heures…vous devriez monter dans le train. »

Albus eut un pincement au cœur. Sa mère prit James dans ses bras tandis que celui-ci faisait une petite grimace, mais ne chercha pas à la repousser. Tandis qu’ils parlaient tous les deux, Albus eut le réflexe de tourner la tête vers le nuage de fumée à travers lequel il avait aperçu les deux inconnus ; il ne vit que des parents faire monter leurs enfants dans le train, et leur donner leurs dernières recommandations,  tandis que les jeunes élèves riaient, inconscients des inquiétudes de leurs géniteurs, excités à l’idée de commencer une nouvelle année. Il se réveilla en voyant James lui donner un coup de pied à distance. Il prit son air le plus agressif et le toisa comme sa mère quand il cassait quelque chose. James eut un sourire narquois.

« A plus tard, Al…Fais attention aux sombrals. »

Albus ouvrit la bouche d’un air offusqué en fixant son frère, effaré.

« Je croyais qu’ils étaient invisibles ?! Tu m’as dit qu’ils étaient invisibles ! »

James éclata d’un rire goguenard qu’il réservait à Albus dans ses bons jours ; il se laissa étreindre une dernière fois par leur mère et consenti à donner un bref câlin à leur père, puis bondit dans le train, leur agitant rapidement la main en signe d’au revoir, pour disparaitre dans le couloir du wagon, partant à la recherche de ses amis (sa bande, comme il aimait à l’appeler). Le père d’Al eut un léger rire en le voyant si impatient et s’adressa à lui, toujours aussi calme.

« Tu n’as pas à avoir peur des Sombrals. Ce sont des créatures très gentilles, elles n’ont rien d’effrayant. De toute façon, tu n’iras pas à l’école en diligences, on t’y emmènera en barque. »

Sa mère se pencha vers lui et l’embrassa sur le front, le serrant contre sa poitrine. Albus se blottit ensuite dans les bras de son père, pas vraiment intéressé parce que pourraient penser les autres enfants.

« Au revoir, Al…N’oublie pas que Hagrid t’a invité à prendre le thé vendredi prochain. Ne t’occupe pas de Peeves. Ne te bats pas en duel tant que tu n’auras pas appris à le faire. Et ne laisse pas James te raconter n’importe quoi. »

Albus n’y tint plus, et enfouissant son nez contre le ventre de son père, il murmura d’une voix anxieuse.

« Et si je suis à Serpentard ? »

Il y eut un petit silence et son père s’accroupit en face de lui, le visage un peu plus bas que celui d’Albus. Il le fixa droit dans les yeux, et Al crut voir comme une ombre passer au travers des siens, du même vert profond que lui. Son père ferma momentanément les yeux puis les rouvrit, et l’ombre avait disparue. Sa voix douce et rassurante qui avait accompagnée Albus durant toute sa courte vie résonna dans ses oreilles.

« Albus Sévérus… Tu portes le nom de deux directeurs de Poudlard. L'un d’eux était un Serpentard et il était probablement l'homme le plus courageux que j’aie jamais connu. »

Albus le coupa, connaissant par cœur le discours qu’allait lui donner son père.

« Mais dis moi simplement… »

" … si c’était le cas, alors Serpentard gagnerais un excellent élève, n’est-ce pas ? (Albus du avoir un regard inquiétant à ce moment là, car son père se rattrapa vite) Pour nous, ça n’a pas d’importance, Al. Mais si ça en a pour toi, tu pourras choisir Gryffondor plutôt que Serpentard. Le Choixpeau magique tiendra compte de tes préférences. 

Albus releva les yeux, surpris. Son père ne lui avait jamais dit ça.

« Vraiment ? »

« C’est ce qui s’est passé pour moi, répondit-il, souriant chaudement. »

Albus souri, émerveillé par ce que son père venait de lui avouer, et voulu ajouter quelque chose, mais déjà, les portes du Poudlard Express commençaient à se fermer, et les parents s’amassaient de plus en plus nombreux pour un dernier au revoir. Albus fut contraint de suivre Rose dans le train, malgrès le fait qu’il voulait encore parler à son père. Il se précipita dans le compartiment vide le plus proche et ouvrit la fenètre, tendant le cou pour se laisser embrasser une dernière fois. Tournant la tête vers les autres fenètres, il surprit de nombreux regards en direction de son père, des chuchotements, de grands sourires rayonnant, parfois.

« Pourquoi te regardent-ils tous  comme ça ? »

Oncle Ron eu un sourire supérieur et releva le menton, regardant les élèves comme s’il était un joueur de quidditch mondialement connu.

« Ne t’inquiète pas. C’est à cause de moi… Je suis extrêmement célèbre. »

Ils éclatèrent tous de rire, et au même moment, le train s’ébranla, vomis de la fumée blanche de ses entrailles mécaniques, et commença à avancer. Albus fit de grands signes à ses parents tandis que le train s’éloignait, partagé entre une très forte envie de pleurer et de rire aux éclats. Quand sa famille disparu dans un virage, il laissa tomber une unique larme dans le vent, et rentra la tête dans son wagon. Lorsqu’il reprendrait le Poudlard Express en fin d’année, il en saurait au moins autant que James aujourd’hui. Et il porterait fièrement les insignes de Gryffondor, comme son père avant lui.

Il en était persuadé.

trio


J'ai pas beaucoup aimé écrire ce chapitre, parce que de un, j'ai du chercher pendant un quart d'heure l'épilogue sur le net pour vérifier si ce que j'avais écris correspondait (ce qui n'était pas le cas, et j'ai du tout modifier), et de deux, j'ai pas réussi à mettre ma jolie réplique d'Albus dans sa première rencontre avec Scorpius ;_; ça attendra le prochain chapitre, je suppose...

Cette fois, j'ai pas dessiné parce que j'avais la flemme, alors j'ai piqué deux illustrations de l'épilogue, faites par deux filles très talentueuses ; la première vient de Makani ( http://makani.deviantart.com/ ) et la deuxième de Greendesire ( http://greendesire.deviantart.com/ ). Cette dernière retranscrit assez bien l'idée que je me fait du trio nouvelle génération, alors voilà (excepté les yeux de Rose que je pense bruns et Albus que je préfère sans lunettes). (comme vous devez vous sentir soulagés de pas avoir à vous taper mes dessins et avoir ces deux merveilles à la place XD je vous comprend). 

Et lalala, j'aime pas Ginny, lalala, je ne l'aimeu paaas...

up ; finalement, des illustrations trouvées au fond d'un cahier de français, parce que ça plait à Angel :)

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Commentaires
I
moi je préfère tes dessins! (mais la flemme nous tura tous U_U) <br /> tu nous premetras quand d'avoir la suite? *o*
A
...mmh...c'est moins bien, soyons réaliste....<br /> c'est assez du resucé....et pis y'a pas des petites dessins. t'as mis de jolis fan art, oui, mais ça vaut pas tes petits croquis qui donnent une véritable ambiance a TA fic. c'est à toi, pourquoi tu mettrais d'autre dessin?<br /> <br /> mais j'ai hate de voir comment albus va réagir en voyant dans quelle maison il est envoyé
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